à propos de mon rond-point dans ta gueule
France Culture – lsd la série documentaire (contribution) :
Témoignages de Dany et Barbara.
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bretons – decembre 2021 (entretien) :
«La dessinatrice et scénariste Sandrine Kerion donne longuement la parole à neuf Gilets jaunes costarmoricains. Sous son crayon, un malaise toujours palpable trois ans après, et une esquisse d’histoire des classes populaires en Bretagne.»
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dbd – novembre 2021 :
«Sandrine Kerion donne la parole à plusieurs Gilets jaunes bretons aux profils variés, sans jugement, avec franchise et sincérité (…) Une galerie de portraits de femmes et d’hommes touchants et vrais, très humains.»
RFI – le débat du jour (invitée) :
Hit west (entretien) :
France 3 bretagne – enquêtes de région (invitée) :
France 3 bretagne (entretien) :
«Sur les pages de la bande dessinée, le jaune claque sur des pages teintées de gris. Un choc visuel, comme en 2018, quand les gilets fluo descendaient les Champs Elysées.»
Ouest-france (entretien) :
france bleu armorique – l’invité de 8h20 – 25/10/2021 (entretien) :
tebeo – télé bretagne ouest – bonjour bretagne (entretien) :
RCF – bulles en stock :
«Des pages passionnantes. Du beau travail, sérieux, honnête, sans jugement. Il y a beaucoup d’empathie dans son ouvrage, beaucoup de lucidité (…) Ces témoignages sont bouleversants. Tous, ils imposent le respect.»
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La montagne (entretien) :
«Les dessiner, c’était leur donner vie mais aussi analyser le monde dans lequel on vit.»
benzine mag :
«Ces portraits de Dany, Alexandre, Barbara et les autres, Français de milieux sociaux et d’origines diverses (…) en disent finalement bien plus – et le disent bien mieux – que les images qui ont tourné en boucle sur les écrans (…) Grâce à un trait très « ligne claire », et dans une bichromie symbolique, Sandrine Kerion dessine leurs visages, leurs corps, avec fidélité et respect, et elle capture ainsi leur fierté, leur… beauté.»
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RCF – 3 questions à… (entretien) :
le club de mediapart – le monde de la bd :
«Incroyablement honnête, juste, cet ouvrage tombe à point nommé pour rappeler d’où l’on vient et que rien n’est inéluctable.»
radio escapades – écritures dessinées :
«C’est un livre important, car ce n’est pas une oeuvre de journaliste, ni une enquête sociologique, ni un essai politique (…) C’est un livre qui se happe, qui se dévore, tellement on a envie de suivre ces parcours. L’écriture, la retranscription des entretiens, la mise en images réaliste, et le choix des cadrages, des scènes, traduisent très bien la mobilisation et en quoi le mouvement des Gilets Jaunes est important.»
publik’art :
«Mon rond-point dans ta gueule permet de faire le point, à froid, calmement, sur un mouvement qui pourrait avoir des répercussions politiques.»
just focus :
«Sandrine Kerion fait de Mon Rond-Point dans ta Gueule un vibrant témoignage de l’intérieur des Gilets Jaunes. La lecture des différentes interviews plonge dans le passé du mouvement mais nous fait aussi réfléchir sur le futur : ce que chacun peut faire pour améliorer une situation qui n’a pas changé depuis 2018.»
la bande du 9 :
«Sandrine Kerion assume de ne pas faire oeuvre d’historienne ni de sociologue, mais son ouvrage donne à voir une vérité beaucoup plus complexe que celle entraperçue par le prisme des ronds-points bloqués, des dégradations ou des Black Blocs (…) Quelles que soient les opinions des lecteurs.rice.s, cette bande dessinée fait oeuvre utile en retraçant le fil des semaines qui ont fait trembler le pouvoir, ragaillardi les sympathisants, et surpris les autres.»
samba bd :
«Le choix de donner la parole à ceux et celles qui ont occupé les ronds-points et/ou manifesté dans les rues, permet d’humaniser le mouvement, de mettre des visages et des existences en avant (…) Le récit du quotidien de Dany, Alexandre, Benjamin, Barbara, Michel, Gilles, Bris, Mathieu et Céline m’a permis d’y voir un peu plus clair sur les Gilets Jaunes et leurs expressions diverses d’une seule et même colère contenue jusqu’alors…»
canal b – plumes et pinceaux :
«On découvre que c’est une protestation existentielle, d’une France un peu oubliée, celle des petites villes et de la ruralité (…) Tu vois la beauté du mouvement, qui a recréé du lien et redonné un sentiment de fierté à cette France qui se sentait oubliée, mais aussi ses faiblesses. Cet ouvrage nous amène à une réflexion sur l’organisation du pouvoir en France.»
sanctuary :
«Un livre qui permet de (re)découvrir le mouvement des gilets jaunes : les motivations et les désirs de personnes humaines. Sandrine Kerion a su s’effacer devant ses interlocuteurs en réalisant ici un travail journalistique réussi. Une BD reportage à lire !»
à propos de J’ai vu les Soucoupes
Caractères (canal+), saison 2, épisode 1 : croire (entretien) :
«Une plongée bleutée dans la folie ovni des années 90. L’autrice explique comment elle est tombée sous le charme des théories du complot et nous donne des pistes pour s’en sortir.»
Dbd – septembre 2021 :
«Les ovnis et le complotisme continuent de faire bon ménage, mais autant on a pu longtemps en rire, autant la lecture de cet album peut faire froid dans le dos.»
Ouest-France (entretien) :
«Un témoignage édifiant sur les mécanismes qui font passer du doute légitime à la croyance aveugle. Bien documenté, l’ouvrage au style agréable donne aussi la température d’une époque – les années 1990 – où gourous et charlatans se répandaient dans les médias.»
Huffington Post :
«Cette plongée intime, remarquable par son honnêteté pour raconter la construction d’une pensée insensée, est très didactique.»
Mr.Sam (entretien) :
«C’est beau, poignant, drôle et ça s’adresse à tous les âges. C’est à la fois l’histoire de Sandrine, mais également celle de l’ufologie telle qu’elle pouvait être perçue en francophonie. Un excellent ouvrage.»
Babelio (sélection de la semaine) :
«C’est de cette véritable expérience dont l’autrice témoigne dans cette BD qui propose de nombreuses pistes pour tenter de prendre du recul dans un monde contemporain où l’on est rapidement embrigadés dans des causes qui nous dépassent.»
Les Trésors de Picsou :
«Sandrine Kerion raconte sa jeunesse passée à croire dur comme fer aux aliens et autres thèses farfelues. Surtout, la BD explique comment elle a, peu à peu, remis les pieds sur Terre !»
l’écran fantastique :
«128 pages d’un délicat album petit format, au trait stylisé et d’un doux camaïeu bleuté (…) L’album refermé, une question cependant se pose : Sandrine Kerion s’est-elle livrée là à une réelle autobiographie, ou n’est-ce qu’une mise en abîme, un récit dans le récit pour rendre plus palpable une historique très rigoureuse mais connue de la plupart d’entre nous? Peu importe en fait, en regard du très réel plaisir que l’on prend à se plonger dans ces souvenirs vrais ou faux d’où monte un délicieux parfum de nostalgie »
La montagne (entretien) :
«Parler d’ufologie avec humour et sérieux est un sacré défi. Il faut marier la liberté du dessin et la rigueur du reportage.»
comment ça marche :
«Sandrine Kerion démonte avec lucidité les mécanismes qui l’ont conduite au bord de la folie, évoquant au passage les dérives complotistes actuelles sur certains réseaux sociaux.»
ar(rê)t culture (tv lux) :
«Cette oeuvre en bleu et noir met en parallèle l’évolution de l’étude des ovnis et la propre expérience de Sandrine, qui a mis 25 ans avant d’oser en parler. Aujourd’hui, si elle la raconte, c’est pour, dit-elle, peut-être éviter à d’autres de s’égarer comme elle l’a fait.»
Publikart :
«Le récit se lit comme un article de science-fiction sociologique, avec un graphisme très stylé dans une belle harmonie. De quoi passer un excellent moment de lecture savante et psychologique.»
Le Mag du Ciné :
«J’ai vu les soucoupes est un album passionnant, documenté, joliment illustré et on ne peut plus proche de son objet (car autobiographique). Il éclaire à merveille, par extrapolation, les dérives sectaires, idéologiques ou encore religieuses.»
actua BD :
«Avec son dessin très « design » en bichromie bleutée, ce témoignage s’avère bien plus intéressant pour sa partie autobiographique que l’évocation des soucoupes volantes.»
Planète BD :
«Il a fallu du courage à Sandrine Kerion pour nous livrer, avec cette BD, son témoignage qui relève de l’intimité. Sans pour autant la discréditer, elle retrace remarquablement bien l’histoire de l’Ufologie, des années 50 à nos jours et critique avec beaucoup de finesse la « branche pourrie » qui gangrène les discours sur la vie extra-terrestre. On soulignera les vertus pédagogiques de ce livre, véritable manifeste contre l’endoctrinement, dont les dessins épurés permettent de concentrer toute son attention sur son propos, juste et touchant.»
Sceneario :
«Sandrine Kerion livre un reportage dessiné ambitieux, passionnant, et intime, avec un graphisme qui rend cet exercice encore plus réussi et agréable à dévorer pour le lecteur !»
Ecritures dessinées (entretien sur Radio Escapades) :
l’avis des bulles :
«Un témoignage louable et passionnant.»
chat sceptique :
«Une histoire touchante.»
Sci-Fi Universe :
«J’ai vu les soucoupes est à la fois un traité sur l’histoire de l’ufologie et le témoignage poignant d’une adolescente des années 90 tombé dans ce milieu. La bande-dessinée drôle et émouvante est très bien documentée et s’ouvre sur le complotisme actuel et les méfaits des fake news. Intelligent et intéressant.»
Just Focus :
«J’ai vu les soucoupes est à la fois un récit journalistique réussi et une biographie décalée. Par ses dessins originaux et son texte, Sandrine Kerion compose un récit à bonne distance entre les souvenirs touchants sur l’adolescence et le recul ironique de l’adulte.»
La Loutre Masquée :
«Une BD drôle et intelligente, servie par un graphisme élégant et épuré, qui nous fait passer un bon moment tout en nous apprenant plein de choses !»
Samba BD :
«Une BD intelligente, introspective, de qualité qui prône l’esprit critique à bon escient. Une sorte d’Ovni dans le monde de la BD.»
l’avis des bulles :
«Un témoignage louable et passionnant.»
lecture jeune :
«Une excellente BD pédagogique, intemporelle, à mettre entre toutes les mains.»
questions de classe(s) :
«Une histoire documentée très précisément de l’ufologie (étude des OVNI), de ses mystificateurs et des discours complotistes avec une ouverture en fin de récit sur les manipulations médiatiques et la désinformation d’aujourd’hui. La postface de Pierre Lagrange, anthropologue et penseur des “croyances populaires, des fake news et du complotisme” élargit la focale dans la direction des luttes sociales et écologiques. Entre documentaire précis et contextualisé et introspection décalée, une réussite à lire dès 13-15 ans et tous publics.»
Sanctuary :
«Un album qui mérite sa place dans de nombreuses médiathèques dans les rayons adolescents parce qu’ils sont encore nombreux à se laisser tenter par les théories fantastiques bien plus drôles que les officielles.»
La Case en Plus :
«Un récit touchant, très beau et très intéressant.»